José María, né le 9 janvier 1902 et mort le 26 juin 1975, grandit avec ses cinq frères et sœurs dans la foi transmise par leurs parents. En 1915, la famille déménage à Logroño. Dans cette ville, le garçon se sent appelé par Dieu, à la vue des traces de pieds nus laissés par un religieux. Il comprit alors que Dieu attendait quelque chose de lui. Le 28 mars 1925, il fût ordonné prêtre. À Madrid, le 2 octobre 1928, Dieu lui fit voir ce qu’il attendait de lui et il fonda l’Opus Dei. Après la guerre civile espagnole, il voyagea dans différents pays d’Europe pour établir et consolider le travail de l’Opus Dei. Saint José María mourut à Rome le 26 juin 1975, laissant derrière lui ses écrits, symbole d’une invitation à devenir un véritable “contemplatif au milieu du monde”. Béatifié le 17 mai 1992 et canonisé le 6 octobre 2002, il désormais célébré dans une grande partie du monde. Surtout au Canada, où de nombreuses messes en action de grâce sont désormais célébrés en son nom.
Les fondements principaux de l’Opus Dei invitent les chrétiens à vivre leur foi dans leur vie quotidienne. Le premier principe est la filiation divine. Chaque baptisé est un enfant de Dieu et cela doit inspirer de la fraternité entre nous. Ensuite, l’Opus Dei propose de pratiquer les vertus chrétiennes dans le quotidien avec la famille, au travail… Il ne doit pas y avoir de séparation entre vie spirituelle et vie quotidienne. D’ailleurs, le travail est sanctifié car bien fait, il devient une offrande à Dieu. Aussi, la prière et la participation aux sacrements renforcent la vie spirituelle. L’Opus Dei prône la liberté et la charité comme valeurs principales. Les membres agissent en toute liberté et aident à diffuser le message du Christ parmi leur entourage avec l’exemple et la parole.
Présent dans plus de 60 pays, l’Opus Dei propose à ses membres des retraites, des cercles d’étude et d’accompagnement spirituel, visant à aider les fidèles à intégrer leur foi dans leur quotidien. En parallèle, l’Opus Dei soutient de nombreuses initiatives éducatives, sociales et caritatives. À travers des universités, des écoles, et des projets d’aide aux plus démunis, il agit pour promouvoir le bien commun, la justice et la solidarité.
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